Dernier train pour Ouessant par Yvon Coquil


Parution La Gidouille, mai 2014

Léo Tanguy débarque à Brest pour l’enterrement de son pote Polo, le flic gauchiste. Aidé dans son enquête par les ouvriers des chantiers navals, le fameux cyber-journaliste se frotte à la faune du port du bout du monde : prolos Bulgares, patrons brutaux, Brestois grandes gueules, putains magnifiques, échafaudeurs de talent. Coincée entre régates de prestige et luttes sociales, la ville est en plus confrontée à un étrange fléau : il pleut sur Brest ! Et alors ? Ben, c’est qu’il pleut des goélands sur la tête des passants !

Yvon Coquil est né à Brest et y a travaillé une trentaine d’années sur les chantiers navals.
Dernier train pour Ouessant est son troisième roman. Après Black Poher et Docks, il signe ici un polar prolétarien, avec pour toile de fond cette ville à qui le noir va si bien.